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LES VILLES COTIERES D'AFRIQUE DU NORD CONFRONTENT LES DESASTRES NATURELS ET LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

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BANQUE MONDIALE, (JUIN 2011)

Abstract

Le sujet de l'étude porte sur l'évaluation de la vulnérabilité des villes côtières d’Afrique du Nord face aux changements climatiques et aux catastrophes naturelles. Elle s’inscrit dans le cadre d’une evaluation regional, étant une synthèse de plusieurs monographies relatives à l’évaluation des risques actuels et à l’horizon 2030 pour chacune des villes (Alexandrie, Tunis, Casablanca et la vallée de Bouregreg au Maroc), à leur adaptation et à leur résilience.

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  • @enrique2014
  • @alvmarta

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  • @enrique2014
    9 years ago
    Adaptation au changement climatique et aux désastres naturels des villes côtières d’Afrique du Nord République Arabe d’Égypte Royaume du Maroc République Tunisienne BANQUE MONDIAL REVIEW Presentation L’étude de un equipe multidisciplinaire, cofinancié par la Banque mondiale et les gouvernements du Maroc, Túnis et Egypte, et realisé par un groupement de sociétés de conseil françaises, a été dirigée par Anthony G. Bigio et centré en trois villes côtières d’Áfrique du nord: Alexandrie en Egypte, Tunis en Tunisie et Rabat (le cas precis de la Vallée du Brourebreg) et Casablanca en Maroc. Les trois exemples analisent les risques de desastres naturelles y du changement climatique. Ils posent come les menaces fondamentales l’erosion, les inondations pour changements au régime et l’intensite pluviometrique, la manque de l’eau e l’inestabilité des sols, des risques sísmiques et tsunamis, y de manière generale des mesures d’adaptation et resilience, de planification urbane et d’attenuation de risques. Les solutions generales que l’étude pose vont a la ligne d’ameliorer le sisteme de defense contre la dinamique du litoral, sistemes de barrages, control de bassins, et d’amenagement prenant en compte les nouvelles hypothesis dues au changement climatique. Pour montrer cette evolution on compare la situation actuelle avec la prevue a l’année 2030. L’ étude a été cofinancié par le Dispositif mundial pour la réduction des risques de catastrophes et la reconstruction (GFRR), le Fonds norvégien pour le secteur privé et l’infrastructure (NTE-PSI) et le Fonds pour le développement écologiquement et socialement durable (TFESSD), d’autre coté autres partenaires ont aussi contribué: l’Agence spaciale européenne (observation satellitaire), l’Académie árabe des sciences, des technologies et du transport maritime (évaluation des risques urbains d’Alexandrie), et le Centre de Marseille pour l’Integration en Mediterranée (divulgation de l’étude) Dans les trois pays participants: En Egypte – l’Agence des affaires environnementales (Département de gestion des zones côtières), avec le Gouvernorat d’Alexandrie. Au Maroc – le Secrétariat d’Etat pour l’Eau et l’Environnement, la Wilaya (autorité déconcentrée) du Grand Casablanca et l’Agence pour l’Aménagement de la Vallée du Bouregreg. En Tunisie – le Ministère de l’environnement et du développement durable(Département de l’environnement et de qualité de vie), le Ministère du développement et de la coopération internationale (Département d’infrastructures) et la Municipalité. Developpement: A mon avis l’étude contient des point fort positifs mais aussi des points faibles. Le plus important des points fort semble être le consensus politique et economique qui a été attainte a tres haut niveau et qui devrait faciliter la mise en oeuvre de decisions de planification urbanistique. La Banque Mondiale et les governements d’Egypte, Tunisie et Maroc au premier lieu font a trés important ensemble pour prendre les decisions. Par contre ça pourait être egalement a point faible en essayant d’homogéneiser les trois cas, en particulièr au cas des villes Marocaines qui sont des villes atlantiques avec une pluviometrie plus haute et reguliere en contraste avec les villes de Tunis et Alexandrie avec un regime diferent de pluviometrie Mediterranéenne. Il ya aussi une trés grande difference en ce qui concerne au profondeur des diferents cas d’étude: Les cas des villes marocaines, en special la Vallée de Brouregreg oú le plan special developpe l’etude avec beaucoup plus d’intensité et d’ambition, mais on doit dire neanmoins, que ça pourait aussi être interesant à voir, comme un example de planification urbanistique et territorial de ce qui a été deja exposé aux autres cas. On ne peut pas oublier les grandes migrations, des gents qui vient de l’Afrique subsaharien et s’installent au faubourg, c’est une question importante et il n’y a pas de references dans aucune des cas d’etude. Les plans, les photographies et les graphiques completent l’information, c’est bien de remercier, mais il faudrait, a mon avis, un peu plus de correlation entre eux. Je voudrais trouver une explication plus vaste du process de croissance de population, en special dans le cas de la Vallée de Brouregreg, qui est trés ambicieux, mais aussi aux autres villes oú il n’y a pas trop d’explications sur la demographie et ses causes. Autres points positifs: - Orienter l’expansion urbaine loin des zones de risques - Aux efects practiques l’usage de precises informations des satellites et de la technologie GIS a permis pas seulement poser des questions teoriques mais aussi donner les outils pour une action rapide d’evacuation de population, établir des aires pour la creation d’hábitats provisoires, et bien sûr de fixer les limites des futures établissements humains, aussi aux plans d’amenagements. - Creation d’un systeme integré de reservoir pour optimiser l’utilisation de l’eau de pluie pour l’arrosage des espaces verts. Autres points negatifs: Entre les conclusions generales on parle entre les mesures d’adaptation et de résilience qu’il faudrait contenir la progresión de l`hábitat illégal dans la périphérie urbaine, pourtant la legalité n’est pas toujours une assurance contre les risques climatiques, on devrait aller un pas plus loin, et établir les aires dangereuses a ces effects. Conclusion: C’est un étude ambicieux avec un objetif practique et bien documenté, mais probablement les interets politiques et économiques des cofinnancieres et la diversité geografique des auteurs forcent un exposé trop homogène, et on devrait distinguer l’aire atlantique de la mediterranée. D’autre coté la documentation graphique est bien practique ayant utilisé l’information des satellites et des systèmes GIS pour definir les limites des zones de risque. L’étude des risques et propositions pour la Vallée du Bouregreg est speciélment bien detallé. Il manqué des references importantes au migrations et d’autres questions sociales La Bibliographie trés étendue justifie neanmoins le trataiment different du profondeur d’analysis au cas des villes marocaines (2 livres): Driouech F, Déqué M, Sánchez-Gómez E (2009) Weather regimes-Moroccan precipitation link in a regional climate change simulation. Submitted to Global and Planetary change Knippertz P, Christoph M, Speth P (2003) Long-term precipitation variability in Morocco and the link to the large-scale circulation in recent and future climates. Meteorol Atmos Phys 83: 67–88 Par contre il y a seulement un livre dans le cas d’Alexandrie: SWITCH Project: Managing Water for the City of the Future, 2007: “Climate change and water management Alexandria” – Briefing note School of Engineering, University of Guelph, Guelph, Ontario Et aucun specifique pour la ville de Tunis, le reste est generaliste pour le Mahgreb et le Nord d’Afrique.
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