La stratégie décennale pour le développement des soins palliatifs sera bientôt annoncée par gouvernement. En attendant une prochaine loi sur la fin de vie. Mais en quoi consistent les soins palliatifs tels qu'ils existent déjà ? Reportage au sein de l'équipe mobile de soins palliatifs de Tours.
Mettre fin à la violence à l’égard des femmes est l’affaire de toutes et tous. Voici exactement dix manières de changer les choses, en toute sécurité et avec l’impact voulu.
La « commission permanente en charge des questions de bientraitance », prévue par l’article D.121-4 du code de la famille et de l’aide sociale1, a été installée le 19 mars 2018, sous le nom de « Commission pour la lutte contre la maltraitance et la promotion de la bientraitance ».
En tant que commission conjointe du Haut conseil de la famille et de l’âge (HCFEA) et du Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH), sa composition a été fixée par décision conjointe de ces deux instances.
Depuis son installation, la Commission a consacré ses auditions et ses travaux à établir cette « Note d’orientation ».
Il s’agit bien d’une orientation générale, plutôt qu’un rapport technique. Elle vise à définir les éléments de ce que pourrait être une action collective de lutte contre la maltraitance et de promotion de la bientraitance.
La Commission y fait, certes, plusieurs propositions concrètes, mais elle a privilégié une approche globale du sujet, en souhaitant, dans cette première étape, contribuer au sens de l’action à conduire.
Pourquoi le travail du care est-il particulièrement fertile pour les questions morales ? Qu’est-ce que la psychologie sociale peut apporter à la réflexion en éthique ? En quoi la philosophie morale peut-elle renouveler l’écoute des psychologues ? Ceux-ci peuvent-ils transformer leur façon de comprendre les préoccupations du monde ordinaire ? Comment les discours savants peuvent-ils ne pas étouffer la voix différente en éthique ? À partir d’enquêtes réalisées sur le terrain de la recherche en nanomédecine, sur celui du soin gériatrique, ou de l’expérience de femmes confrontées à la violence, ce livre propose une lecture de « ce qui compte » pour les personnes qui sont engagées dans une relation d’attention à autrui. Les conditions de l’identification à l’autre, ou au contraire de l’impossibilité de s’imaginer à sa place, sont un fil rouge dans une réflexion portant tour à tour sur l’angoisse morale, le racisme et le mépris social, le rapport entre souci de soi et souci des autres.