Avis 139 Questions éthiques relatives aux situations de fin de vie : autonomie et solidarité
Plusieurs débats traversent de manière récurrente la société à propos de la fin de vie. Citoyens, parlementaires, associations, soignants, intellectuels… discutent de la possibilité, ou non, d’une évolution du droit, les lois actuelles ne prévoyant pas la délivrance d’une aide active à mourir. Si le CCNE a examiné à plusieurs reprises les questions éthiques relatives à la fin de vie, il a souhaité à la lumière des évolutions législatives, médicales et sociétales des dernières années, approfondir certains enjeux éthiques du débat. C’est l’objet de son Avis 139 « Questions éthiques relatives aux situations de fin de vie : autonomie et solidarité » dans lequel Il émet plusieurs propositions.
Autorité publique indépendante à caractère scientifique, la Haute Autorité de santé (HAS) vise à développer la qualité dans le champ sanitaire, social et médico-social, au bénéfice des personnes.
Elle travaille aux côtés des pouvoirs publics dont elle éclaire la décision, avec les professionnels pour optimiser leurs pratiques et organisations, et au bénéfice des usagers dont elle renforce la capacité à faire des choix.
La « commission permanente en charge des questions de bientraitance », prévue par l’article D.121-4 du code de la famille et de l’aide sociale1, a été installée le 19 mars 2018, sous le nom de « Commission pour la lutte contre la maltraitance et la promotion de la bientraitance ».
En tant que commission conjointe du Haut conseil de la famille et de l’âge (HCFEA) et du Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH), sa composition a été fixée par décision conjointe de ces deux instances.
Depuis son installation, la Commission a consacré ses auditions et ses travaux à établir cette « Note d’orientation ».
Il s’agit bien d’une orientation générale, plutôt qu’un rapport technique. Elle vise à définir les éléments de ce que pourrait être une action collective de lutte contre la maltraitance et de promotion de la bientraitance.
La Commission y fait, certes, plusieurs propositions concrètes, mais elle a privilégié une approche globale du sujet, en souhaitant, dans cette première étape, contribuer au sens de l’action à conduire.
La dynamique vitale de la santé ne se prescrit pas mais se construit par l’expérience subjective et en relation avec autrui. Le lecteur comprendra dès lors
réalisation par le CODES 11, à l'occasion de la journée départementale "Handicap mental et santé" d'un document sur les ressources documentaires traitant de cette thématique
C. Gomes da Rocha. REISO, Revue d'information sociale, (décembre 2019)Carla Gomes da Rocha, «La douleur chez la personne âgée», REISO, Revue d'information sociale, mis en ligne le 12 décembre 2019, https://www.reiso.org/document/5328.
N. Wallerstein, and N. Wiggins. La Santé en action, (décembre 2018)Tiré du dossier EMPOWERMENT DES JEUNESURL : http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/sommaires/446.asp?.
B. Lamboy, N. Cotton, and E. Hamel. La Santé en action, (décembre 2018)Dossier "Prévention du vieillissement : interventions probantes" coordonné par Béatrice Lamboy, Nadine Cotton, Emmanuelle Hamel, Dagmar Soleymani.
C. Szyba, D. Grandemanche, and G. Gérold. De Boeck Estem, Paris, (2010)La couv. porte en plus : äuxiliaires de vie;Aides-soignantes;Aides-ménagères;Gardes à domicile;Aides médico-psychologiques.