Abstract
Après les grèves victorieuses de 2001–2002, les collectifs de solidarité parisiens ont dû affronter des situations imprévues dans le cadre de luttes à l’issue pas toujours heureuse. Mais ce sont précisément les contradictions et les difficultés rencontrées qui font la richesse de cette expérience. Pouvoir se battre, et gagner parfois, n’est jamais acquis d’avance.
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