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Afrique du Sud

, and .
(2010)

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  • @maria_sisu

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  • @maria_sisu
    10 years ago
    A) Dans un monde ouvert, oú les possibilitées de voyager dans des pays de l’autre coin du monde, dans un temps assez court, se sont multipliées, la necessité d’écrire des livres de voyage a augmenté aussi. Ces livre sont écrits our nous accoutumbrer avec les coutumes et les point d’intéres, pour nous enseigner comment nous comporter, pour ne pas déranger les habitants d’une certaine région, et pour ne pas avoir des problèmes nous-mêmes, les touristes. Se documenter en avant c’est de voyager responsable, c’est pouvoir contribuer à la protection de la vie sauvage, à la conservation historique et à l’enrichessement culturel des endroits visités. Le but de National Geographic est de promouvoir le géotouriste, ça veut dire le touriste qui soutient et développe le caractère géographique d’un certain endroit, l’environment, la culture. Le guide de voyage “Afrique du Sud”, publié par National Geographic, est écrit par Roberta Cosi et Richard Whitaker. Roberta Cosi est écrivaine et éditeur, née et élevée à Johannesbourg, passionnée de l’exploration de l’Afrique du Sud et des richesses que ce pays offre. Richard Whitaker est né en Afrique du Sud, il a étudié à l’Université Witwatersrand de Johannesbourg, accomplissant ces études avec des diplômes de philologie classique aux universités Oxford et St. Andrews. Après beaucoup d’années d’enseignement aux universités Durban et Cape Town, i a commencé sa carière d’écrivain. Il a voyagé extensivement en Europe et dans le sud du continent africain. Le livre de voyage présent les régions d’intéres, grouppés géographiquement, de nord-ouest au nord-est, dans les chapitres suivants: Cape Town et la presque-île, La Côte d’Ouest, Western Cape, Eastern Cape, Durban et KwaZulu-Natal, Kruger et Mpumalanga, Johannesbourg et l’interieur, Northern Cape. Le premier chapitre du livre présent l’histoire et la culture de l’Afrique du Sud. Parce que l’Afrique du Sud est un pays qui a détenu la première page des journaux, parce que le mélange entre la culture africaine et européenne naît beaucoup d’idées nouvelles dans les arts, parce que la lutte contre l’apartheid est tant connu, j’ai été curieuse d’apprendre plus de l’organisation de la ville de Johannesbourg avant de tempter un voyage dans un monde que je ne connais pas. J’ai voulu savoir comme la ville est organisée, quelle sont ces industries, oú la vie culturelle prend place et comme je pourrais mélanger parmi les gens de couleur sans avoir peur. B) L’auteur présent Johannesbourg en partant du centre vers les banlieues, en respectant la régle de dévéloppement d’une ville. La ville se situe à 1737m d’altitude et est la ville africaine qui s’est le plus transformée. En consultant les images avec la présentation des divers villes sud-africaines, les infos liées du numéro des habitant (plus de 5 millions dans la zone Metrom, en 2011), la dinamique de la vie politique et la manière de laquelle les quartier de la ville se sont modifiés, j’ai trouvé que l’auteur a raison. Je n’ai pas réussi, en échange, de trouver une justification pour le numéro d’habitants avancé par l’auteur, 6 millions, le livre étant écrite en 2010. De plus, l’auteur afirme que la ville se fie avec le mélange de cultures et langues, résultat de la chute de l’apertheid, mais aussi de l’affluence d’imigrants et réfugiés. Je trouve difficile à croire que avant de la chute d’apartheid n’a pas éxisté un mélange de langues et cultures. 2. La ville est analisée de la perspective des échanges reflétés dans la chute des certaines quartiers et l’élevation des quartiers nouveaux. Le centre, dédié exclusivement aux blancs, avec des maisons luxeuses, des zones commerciales amercanisés et europénisés, est en reflux. Le centre s’est déplacé dans les banlieues nordiques. Sous l’apertheid, le vieux centre était zone exclusive pour les blancs. Quand la loi des zones a été aboli, les noirs ont invadé le centre, parfois ocupant à force des bâtiment entiers. La taux de criminalité a augmenté, sur le fond social de la haine et de la manque de coordination des forces de l’ordre. Le marché des bâtiments s’est dégradé. La municipalité fait des efforts pour rehabiliter la zone. Ils ont installé des caméra video. Les mésures judiciaire ont contribué aussi. Des contrastes dans les bâtiment peuvent être vu partout, entre la richesse et la pauvreté. 3. Une autre thème abordée est les banlieues pauvres de la ville, Soweto. Cette zone a été projété dns les années 50, comme banlieu dormiteur pour les ouvriers noirs. Soweto s’est développé beaucoup sans aucune planification, en devenant un e collection de townships. Ce zone est devenu la plus grande aglomération noir du continent. Ici la politique de résistence est fleuri. C) En conclusion, Johannebourg est un ville en plein transformation, avec une zone urbaine construite par les coloniales et des banlieus, une ville avec une direction de développement et qui veux réduire la criminalité.
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