Résumé: Notre thème vais se approcher sur les moyens de structuration des villes africaines, en tenant en considération le contexte historique et politique. Le matériau de base pour la consultation a été prise à partir de une étude brésilienne de l'Afrique coloniale face, leur vie quotidienne, la structure familiale, les ouvertures politiques et des impacts conséquents sur les pratiques de la populationLe but de ce court article est d'articuler la formation et le développement des villes africaines avec une réflexion critique sur la mise en place d'une administration concentré en effet pour les habitants “ réels” de las localités, cherchant à se débarrasser une tendance à la stratification dans la figure d'un “Homme moyen”, bourgeois typiquement. Pour commencer, il est intéressant d'organiser un devis de Norbert Elias (2000) pour aborder la question du processus de civilisation comme un projet domestication de la nature tropicale. Selon ce penseur, à maîtriser les sujets de une région il faut necessaire conformer le environnement les pratiques ciblées. Nous allons faire un schéma sur cette pratique à partir de une organisation sur Afrique orientale allemande, eu lieu au XXe siècle, dans la région actuelle de la Tanzanie, le Burundi et le Rwanda. Sous le gouvernement de Rechenberg (1861-1935), le territoire africain sous domination allemande devrait être construit à partir d'une appropriation réelle des espaces coloniaux. En ce sens, les formes de la ville sont transformés en une exploitation optimisée de toutes les ressources. Un épisode qui a marqué la consolidation des pratiques d'intérêt colonial était l'holocauste en Afrique de l'Est, dans lequel la faune devrait être éliminée pour un "bon fonctionnement" de la colonie. Le développement de ce fait a abouti à la soi-disant Kulturskandal, que avait comme ordre du jour était de réfléchir sur ce que le processus de civilisation vers les colonies comme une conséquence pour les colonies, en outre une question sur la prétendue supériorité d'une culture que a besoin de consommer d'éviction de leurs colonies pour survivre. Poursuivant dans notre texte, nous limitons notre thème dans une autre région de l'Afrique, spécifiquement la région actuelle de Luanda et processus conflictuel dans la formation de l'identité. Luanda, une colonie portugaise, a été fortement marquée par une la trafic négrière et de la façon de négocier le point entre les zones africaines. Depuis le XVIIe siècle, cette région a été subjuguée au développement idéal européen, ayant des codes culturels extrêmement sécrétant, comme la différenciation faite entre les "colons", décroissant population blanche du portugais qui a eu accès au pouvoir et connu plus de statut, les "fils de la terre", conçus pour les métis qui ont dominé les codes culturels européens et indigènes définis par ne pas s'adapter au système européen. Ce qui importe dans ce travail est de souligner que la législation est soutenu par l'hypothèse raciale, que l'administration publique doit être prise à partir du modèle «blanc», étant supprimé la propre population angolaise, occupant la position la plus basse de cette chaîne stratifié, ce qu'on appelle «noire ». Ceci reste vrai même au XXe siècle, où la constitution interdit l'accès de « noires » dans les postes de l'administration publique Un extrait du livre Ribeiro et Gebara met en évidence que la réalité: Até mesmo José de Fontes Pereira, eminente representante das elites angolenses, crítico radical da expropriação resultante da intensificação da presença colonial em Luanda, apresentado por alguns estudiosos como precursor do moderno nacionalismo angolano, referiu-se pejorativamente aos que, provavelmente por não dominarem com desenvoltura os códigos culturais europeus, eram qualificados como pretos e deveriam ser reprimidos pelas autoridades policiais. (RIBEIRO; GEBARA, 2013, p.45) La région de Luanda du XXe siècle s’organise, à partir de stratégies pour aborder avec les colonisateurs , l'adoption de vêtements européens, couverts, et les lois sécrétant. Sartre dans colonialism et neo colonialism (1964) traite modes de colonisation à partir de ses dimensions politiques et la «vérité» qui justifient tel acte. Pour Sartre, Le processus de colonisation est basée dans une sédimentation d’esprit du colon sur les colonialiseé, avec l’inscrition du racism. Selon cette auteur,le racism n’a rien d’accessoire et de secondaire, et il n’est surtout pas un épiphénomène de la colonisation, lié à la difference des moeurs et de la culture. Sur la base de cette idée, l'idéal de racisme sert comme un appareil de violence, un mécanisme qui justifie la domination et une «modernisation» qui prétendument vais developper l'évolution à la communauté. Dans notre cours Introduction à La planification urbaine, ont été mis en évidence limits du plan, y compris la préparation du plan toujours comme une modèle de « homme moyen » ce qui tend à contribuer à l'augmentation de la ségrégation caractéristique de ces régions marquées par le colonialisme. C’est justement le sujet de la deuxieme semaine de cours, un des défis majeurs pour la ville de demain : Repenser les nouvelles formes de démocratie. Est necessaire penser un processus participatif, en pendrent les décisions ensemble avec les habitants et observer quels sont les vrais besoins de chaque région au-delà de un processus purement téchnique. Pour penser une planification adéquat, nous nécessairement devons considerer le tout environnement, habitants et les besoins réels de la région. Planification apporte tout son poids pour constituer une réalité qui doit correspondre aux besoins réels de la région, au risque de servir comme un outil d'oppression d’un modèle qui réaffirme caractéristiques qui survit depuis l'époque coloniale. Bibliographie ELIAS, NORBERT. The civilizing process.Wiley, 2000. RIBEIRO, ALEXANDRE; GEBARA, ALEXANDRE. Estudos Africanos: Múltiplas abordagens. Editora UFF, 2013. (disponible en: http://www.historia.uff.br/stricto/files/public_ppgh/hol_2013_EstudosAfricanos.pdf) SARTRE, JEAN. Situations V. Colonialisme et néo-colonialism. Gallimard, 1964