Ne semble-t-il pas au lecteur, comme à moi, que la langue de la dernière décadence latine - suprême soupir d'une personne robuste, déjà transformée et préparée pour la vie spirituelle - est singulièrement propre à exprimer la passion telle que l'a comprise et sentie le monde poétique moderne ? La mysticité est l'autre pôle de cet aimant dont Catulle et sa bande, poètes brutaux et purement épidermiques, n'ont connu que le pôle sensualité. Dans cette merveilleuse langue, le solécisme, le barbarisme me paraissent rendre les négligences forcées d'une passion qui s'oublie et se moque des règles. Les mots, pris dans une acception nouvelle, révèlent la maladresse charmante du barbare du nord, agenouillé devant la beauté romaine.
'It was one of the best answers in extempore Latin that ever I heard,' wrote Cecil to the absent Essex. Tradition has it that Elizabeth, conscious of her success, turned her back on the unfortunate young diplomat, remarking loudly to her courtiers, 'My lords, I have been forced this day to scour up my rusty old Latin.'
Technologically, craftsmen were ready to follow Gutenberg’s example, opening presses across Europe. But they could only guess at what to print, and the public saw no particular need to buy books. The books they knew, manuscript texts, were valuable items and were copied to order. The habit of spending money to read something a printer had decided to publish was an alien one.