Elle note que le taux d’auto-archivage reste très faible, ce qui explique en partie les appels à rendre le dépôt obligatoire (et pour ce qui me concerne, je me méfie souvent de la perennité à long terme, et de l’acceptation réelle, des systèmes obligatoires). Mais de fait, Salo soutient que l’auto-archivage n’est pas réellement utile au chercheur: pas utile à l’avancement de sa carrière, à l’obtention de budgets de recherche, pas même utile au partage du travail sur des documents en cours dans la mesure où ils ne savent pas gérer correctement les versions.